Cela fait déjà quelques années qu’Elvin Bironien fréquente les clubs de la capitale pour s’y produire ou se nourrir des autres. S’exprimant pleinement et sans concession, tantôt au travers d’un rythme de « ka » détourné, d’une mazurka électrique, d’une ballade chantée, Grégory Privat (Piano/Keyboards), Ralph Lavital (Guitare), Pierre Alain Tocanier (Batterie) et Elvin Bironien (Basse/Composition) nous livrent un discours en quête de singularité, essayant de repousser leurs limites sans jamais perdre de vue la poésie et la danse.