Jacques Schwarz-Bart, chantre du métissage, élève une ode savante et fougueuse à la mémoire de son père André (Prix Goncourt en 1959 pour “Le dernier des Justes”). Soutenu par des complices tout aussi impétueux que lui, il a élaboré, à partir de prières chantées de la tradition juive d’Europe, du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, de nouvelles mélodies brassées aux sons et aux rythmes de l’improvisation jazz et des musiques de la Caraïbe, des Etats-Unis et des Gnaouas. Une fresque incantatoire et jubilatoire !
Jacques Schwarz-Bart : saxophone
Grégory Privat : piano
Arnaud Dolmen : batterie
Stéphane Kerecki : contrebasse