Le jazz caribéen à l’état pur.
Difficile de rester insensible au dernier album d’Eric Ildefonse.
Autant dire que le pianiste compositeur martiniquais nous livre le meilleur de ses compositions. Entouré d’une équipe de choc, il place la barre très haute. Vous aurez l’impression d’être face à une nouvelle musique toute en vitalité. A Paris, en Belgique ou dans la Caraïbe, Eric Ildefonse ne cesse d’explorer de nouveaux horizons en proposant différents styles de jazz sans se fixer de frontières, promouvant au contraire, «une autre manière d’entendre le monde».
Pour dernier album «Sa’w ka di», Eric Ildefonse a rassemblé autour de lui le contrebassiste Felipe Cabrera et le batteur Chander Sardjoe, tous deux bien connus de la scène Jazz parisienne et internationale.
A travers ses compositions, il aborde le calypso, la biguine jazz, le bélya, le bèlè du sud, la mazurka et bien d’autres styles de musique caribéenne traditionnelle, d’une manière innovante et contemporaine.
Difficile de rester insensible au dernier album d’Eric Ildefonse.
Autant dire que le pianiste compositeur martiniquais nous livre le meilleur de ses compositions. Entouré d’une équipe de choc, il place la barre très haute. Vous aurez l’impression d’être face à une nouvelle musique toute en vitalité. A Paris, en Belgique ou dans la Caraïbe, Eric Ildefonse ne cesse d’explorer de nouveaux horizons en proposant différents styles de jazz sans se fixer de frontières, promouvant au contraire, «une autre manière d’entendre le monde».
Pour dernier album «Sa’w ka di», Eric Ildefonse a rassemblé autour de lui le contrebassiste Felipe Cabrera et le batteur Chander Sardjoe, tous deux bien connus de la scène Jazz parisienne et internationale.
A travers ses compositions, il aborde le calypso, la biguine jazz, le bélya, le bèlè du sud, la mazurka et bien d’autres styles de musique caribéenne traditionnelle, d’une manière innovante et contemporaine.