
En deux mots : « Au soprano comme au ténor, le jeu de Jocelyn Ménard se caractérise par une constante lisibilité, une densité d’expression qui se conjugue à une remarquable mobilité rythmique […] Mais l’album n’aurait pas atteint ce degré de réussite sans une impressionnante cohésion d’ensemble. » – Stéphane Carimi – Jazzman – oct. 2002 -