Piano Biguines (Alain Jean-Marie, 1969)

En 1969, Alain Jean-Marie a vingt-cinq ans et termine sa période canadienne de jeunesse. Et c’est à ce moment-là qu’il enregistre ce Piano Biguines, premier album sous son nom et un opus qui marquera son œuvre à jamais, prémices des Biguines Réflexions publiées à partir des années 90. En quartet avec Tony Faisans, Jobby Dandele et Serge Landre, il enregistre sa première vue du mariage de la biguine et du jazz, en reprenant des titres d’Al Lirvat et Pierre Louiss, ainsi que quelques compositions personnelles. L’album est réédité en 1984, puis en CD au début des années 90. Pourtant, si vous posez la question à Alain, le perfectionniste qu’il est vous dira que ce n’est pas, et de loin, son album préféré… Même si nous, auditeurs passionnés, avons éventuellement un avis différent !


Piano Biguines (Alain Jean-Marie)


Piano Biguines Année : 1969
Label / référence : Disques Debs International (HDD 514)
Personnel : Alain Jean-Marie (pno), Tony Faisans (b), Jobby Dandele (dms), Serge Landre (guiro, perc)
Rééditions (Voir sur Discogs) : Vinyle : Disques Debs International, 1984 (HDD 514) - CD : Debs, 1993 (1338-2)


Titres : A1- Mi Belle Journée (A. Lirvat) - 3'28 / A2- Tu me disais (H. Debs, M. Riotton) - 2'45 / A3- Amour à Montréal (A. Jean-Marie) - 3'28 / A4- Tu peux compter sur moi (P. Louiss) - 2'48 / A5- Travail raide (A. Jean-Marie) - 3'07 / B1- L'anmou la Creole (DR) - 2'40 / B2- C'est ou même qui l'amour (A. Lirvat) - 2'42 / B3- Souvenir de mon île (A. Ken, A. Lirvat) - 3'03 / B4- On bon joune (H. Debs) - 3'44 / Choucoune (DR) - 3'22

Revue expresse Instagram : En 1969, Alain Jean-Marie a vingt-cinq ans et termine sa période canadienne de jeunesse. Et c’est à ce moment-là qu’il enregistre ce Piano Biguines, premier album sous son nom, et un opus qui marquera son œuvre à jamais, prémices des Biguines Réflexions publiées à partir des années 90. En quartet avec Tony Faisans, Jobby Dandele et Serge Landre, il enregistre sa première vue du mariage de la biguine et du jazz, en reprenant des titres d’Al Lirvat et Pierre Louiss, ainsi que quelques compositions personnelles. L’album est réédité en 1984 (ces photos), puis en CD au début des années 90. Mais pourtant, si vous posez la question à Alain, le perfectionniste qu’il est vous dira que ce n’est pas, et de loin, son album préféré… Même si nous, auditeurs passionnés, avons éventuellement un avis différent !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Retour en haut