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En deux mots : En 1986, Malavoi sort La Case A Lucie, avec Paulo Rosine, Jacky Bernard et Emmanuel Césaire. Ralph Thamar y interprète des succès comme Sidonie et Apartheid, repris par de nombreux artistes.

En deux mots : La tradition est entre de bonnes mains, avec la musique du clarinettiste martiniquais Rosier Audibert. Accompagné par une grande partie de Malavoi (le regretté Jacky Bernard, José Privat, Denis Dantin, Jean-Marc Albicy Nicol Bernard et les cordes de Soïme / de Negri / Césaire), il passe en revue quadrille, mazurka, biguine et valse sur ce « Volume 2 » sorti en 1984.


En deux mots : Sur ce « Tout Créole » de 1978, avec Roland Louis, mais également Guy Houllier, Gérard Pommer, Edouard Benoit, Yves Honoré, etc. David Martial alterne les genres, de la cadence biguine au reggae en passant par le bèlè, le ti-bwa et le compas. On y trouve même un blues, sur lequel il est accompagné par Georges Arvanitas. Rien que ça. Et une mention particulière pour la pochette, sur fond d’une peinture de Saint-Louis Blaise.

En deux mots : Premier 45 tours de Philippe d'Huy. A tout juste vingt ans, le guitariste et chanteur sortait ses premiers titres Petion-Ville et Cé Ou Mêmm' Ki Di Ça, entre biguine et cadence-kompa, et avec des liners notes signées P.E. Razou pour Le Monde.

En deux mots : En 1977, Al Lirvat présente la biguine wabap, une version plus énergique et jazz de la biguine, avec son trio. L'album inclut des compositions originales et des reprises, avec des musiciens comme Arthur Jim et José Benjamin.

En deux mots : En 1975, Al Lirvat sort "Biguines... toubonement !", l'un de ses premiers 33 tours, avec son orchestre wabap. Il introduit le concept wabap, modernisant la biguine, accompagné d'Emilien Antile, Michel Paquit et Jacky Bernard.

En deux mots : Qui mieux que Pierre Rassin pour défendre la tradition de la biguine, de la mazurka ou encore de la valse ? Le chef d’orchestre martiniquais, directeur du Manoir à Fort de France, tromboniste émérite, est ici accompagné de son orchestre créole, où l’on retrouve le clarinettiste Barel Coppet, André Geneviève au piano, la section rythmique de René Cimper et Denis Dantin et la voix de Roland Toussaint. Et c’est bien connu, Femme Tombé Jamais Désespérer !